Nous savons bien que parfois, l'intégration c'est compliqué et que la recherche de liens peut tourner un peu en rond. Alors pour vous aider nous vous proposons plusieurs scénarios qui seront mis à jour régulièrement afin de vous donner des idées quand vous séchez ! Répondez à la suite en utilisant le formulaire disponible afin de vous proposer pour un des lien !
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Les liens proposés
veuillez vous excuser pour la gêne occasionnée : Un jour tu l'as croisé dans la rue et ça faisait une éternité que tu ne l'avais pas vu, surpris de le voir là tu l'as abordé d'un air enjoué mais incertain, pour savoir ce qu'il était devenu, ce qu'il faisait dans la vie. C'était sympa, ça t'a rappellé de bons souvenirs, et ça s'est reproduit régulièrement, vous vous croisez et discutiez plusieurs longues minutes, mais tu sentais un espèce de doute planner, un doute qui s'est accentuer au fur et a mesure des mois et des rencontres. Et un jour tu as compris d'où venait ce malaise.
Ça fait six mois que tu abordes toutes les semaines cette personne dans la rue, convaincu qu'il s'agit de l'ex d'un de tes amis avec qui tu t'entendais bien à l'epoque.
Alors qu'en fait pas du tout.
Cette personne que tu abordes et un inconnu total.
Un inconnu absolu.
Un inconnu à 100% que tu salut depuis des mois comme un vieil ami.
Comment avouer cette méprise stupide qui a créer une relation sur un espèce de mensonge absurde ?
C'est très gênant. (
1/2 personnes, @tallula Sergueïeva celle qu'on confond)
musique de chambre pour dépressif : Ton voisin met souvent la musique fort chez lui. Du type fort fort (ou bien ça vient de l'isolation tu ne sais pas trop) le soucis c'est qu'en dehors du fait que tu ne prévois pas d'organiser des boom dans ton salon tous les soirs, il passe très souvent des chansons qui touchent ton coeur intimement.
Du genre
Très profondément
Du genre
Qui te font pleurer
Car tu es très sensible. Et tu ne supporte plus de passer tes soirée a pleurer alors un jour tu vas frapper chez lui en larme pour lui hurler dessus que tu n'en plus de sa musique parc que ça te rappelle si et ça et si et tu te retrouves a lui faire une liste exhaustive de ta vie. Un peu confus il t'invite à prendre un verre. Le lendemain, mortifié, tu fuis son contact en pleine crise de honte, et ça dure plusieurs jours avant que tu ne décidés d'aller t'excuser. Et puis quelques jours plus tard c'est le retour de la musique triste. Tu y retournes. En larmes encore une fois. Cette fois ton voisin t'acceuil avec un genre de sourire. Tu ne sais pas bien ce qu'il y a entre vous désormais. En tout cas, il n'aime que la musique qui te fais chialer. Et ça a l'air de l'amuser. (
1/2 personnes,
@logan king, celui qui met la musique trop forte)
Liés par la parole : Les événements récents vous ont marqués, vous avez été touché d’une façon ou d’une autre, un traumatisme douloureux dont il est difficile de vous en défaire. C’est encore récent, un peu trop, le ciel éclairé en pleine nuit et ce qui a suivi. Cela peut vous rappeler des souvenirs enfouis ou tout simplement déclencher un trauma récent, à vous de voir. Puis un jour vous êtes tombées sur cette affiche parlant d’un groupe de parole, un groupe de soutien, pour parler des météorites et du virus. Vous avez hésité, y aller ou non ? Finalement vous vous êtes laissé tenter (puis ils ont promis du café). Une réunion, deux réunions, trois réunions. Vous vous êtes installé sur votre chaise attitrée et vous avez commencé à parler, à échanger. Il se trouve que vous n’êtes pas seul, qu’il y en a d’autres comme vous, mais surtout deux autres. Trio qui se forme au fil des rencontres, l’amitié sur un fond de drame personnel, vous vous promettez d’être toujours là pour les autres, quoi qu’il arrive. Mensonges ou vérités, seule l’avenir le dira. (
3 personnes)
Guilty as charged : Vous vous êtes réveillé un matin avec de nouveaux pouvoirs, infecté par ce qu’on appelle le virus du meteorum, mais comme tous les mutants peuplant la ville, vous ne maîtrisez absolument rien. Mais il se trouve que votre pouvoir est destructeur. Physiquement ou psychiquement, un don qui blesse votre entourage quand il échappe à votre contrôle. Et il échappe souvent à votre contrôle. Surtout cette fois, dans la rue, quand ça a dérapé et que vous avez finit par blesser quelqu’un assez gravement. Vous vous en êtes voulu, terriblement, vous et votre don ingérable, la culpabilité qui pèse lourd sur vos épaules, dans votre cœur. Vous vous êtes jurés de vous racheter. Votre victime ne sait pas que c’est vous, que vous êtes la cause de tous ses malheurs, alors vous en profitez pour venir sonnez chez elle et lui tendre un bouquet de fleurs, prétexter des excuses débiles pour être là, l’aider du mieux que vous pouvez. Le temps qui passe et le mensonge qui s’enlise, vous ne savez pas ce que l’autre fera quand il/elle apprendra la vérité sur votre présence à ses côtés. (
2 personnes)
Lettre à la mer : Un jour t’as reçut une lettre qui t’étais pas destinée, erreur de facteur, mauvaise adresse, tu sais pas vraiment. Le truc c’est que les mots t’ont touché, l’histoire aussi, échange banal ou déclaration enflammée, le contenu de la lettre a ébranlé quelque chose dans ta poitrine. Alors t’as pris ton plus beau stylo, ta plus belle plume et t’as répondu, renvoyé la lettre à l’adresse indiquée à l’arrière de l’enveloppe. Plusieurs semaines sont passées, t’as fini par oublier, jusqu’au jour où t’as entendu le bruit métallique de ta boite aux lettres. Nouvelle réponse, maladroite, amusée, intriguée. C’est comme ça que votre échange a commencé. Vous ne vous êtes pas encore rencontré, comme une vague idée de votre destinataire mais rien n’est assuré. La curiosité est là mais pour le moment tu n’as pas encore osé demander à l’autre de vous rencontrer quelque part. Le papier semble parfois plus rassurant que la réalité. (
2 personnes)
Sur un bout de canapé : Vous avez toujours eu le cœur sur la main, incapable de dire non à la moindre demande, à vouloir vous plier en quatre pour les autres. Alors quand vous l’avez vu par terre dans la rue, la gueule abîmée et le regard usé, vous n’avez pas pu résister. Vous lui avez parlé plusieurs jours à la suite, lui apportant à manger apprenant à le/la connaitre. Vous avez appris qu’il/elle a perdu son logement lors de la pluie de météorites, qu’il/elle est aujourd’hui à la rue et sans logement. Avec ce qui se passe actuellement, vous vous dite que ce n’est pas bon de dormir dehors, alors encore une fois vous n’avez pas réfléchit, vous lui avez proposé une place sur votre canapé. Colocation maladroite, vous ne savez rien sur lui/elle, sur son passé et son présent. Un peu trop en confiance vous ne savez pas qui vous avez fait rentrer chez vous. Pour le moment la cohabitation semble bien se passer, mais jusqu’à quand ? (
1/2 personnes @keira logan, celle qui héberge )
la guerre de l'aspirateur : Un jour tu t'es porté volontaire pour nettoyer une salle endommagée après l'apparition de Perséphone, et tu t'es retrouvé en binôme avec un type (où une femme hein hé) que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam. Toi qui n'aime pas trop la compagnie et qui espérais pouvoir te vider la tête en te concentrant sur ton nettoyage, te voilà pris de pulsion de colère face à cet imbécile qui semble absolument incapable de laver quoi que ce soit correctement. Toi, maniaque, accablé par sa désinvolture, tu te retrouve bien incapable de ne pas te sentir obligé de l'encadrer. Te voilà donc dans son dos à scruter tous ses mouvements, pour lui dire quoi faire, comment le faire, car il semble que si tu t'en abstiens, ce type ce contente de passer l'aspirateur en oubliant les coins.
Au bout d'une énième remarque, soudain pris d'un regain de quelque chose, le type qui jusque là faisait semblant de t'ignorer, se tourne vers toi et pose le tube de l'aspirateur sur ton tee shirt, dans le plus grand des calmes. La maille craque. Se distend. Le tissu se déchire. Il retire le tube avec un petit rire contrit. L'aspiration en plus de détendre totalement le tissu a laissé une énorme marque grise.
Ton tee-shirt à 300 dollars.
Tu envisages de lui coller le tube dans la bouche en espérant que ça aspire ses poumons. Mais tu te maîtrises. Tu trouves plus sage à la place de lui demander un remboursement total. Le type accepte mais à une condition : t'accompagner l'acheter.
C'est le début d'une guerre pénible. (
2 personnes)
pour une poignée de dollars : un jour A a trouvé un portefeuille dans la rue, un portefeuille extrêmement garnit de billets très alléchants. De nature honnête il réfléchit longtemps avant de décider d'utiliser l'argent mais de rendre le portefeuille à son propriétaire, il pourra toujours lui dire que lorsqu'il l'a retrouvé, le portefeuille était vide. Mais le mensonge ne prend pas. Lorsque A rend son portefeuille à B, il faut peut de temps pour que celui-ci lui mette sous le nez l'incohérence de son histoire bafouillée et lui fasse avouer son larcin. Pétri de culpabilité, A accepte alors de repayer sa dette. Il n'imaginait cependant pas que cela reviendrait à effectuer toutes une série de tâches dont la liste ne semble jamais s'épuiser. Et comment définir le montant de cette dette ? Il semble bien que A puisse devenir le commis pour un bon moment avant de se libérer (
2 personnes)
Mon super-héro : Lors du 4 juillet, tu aurais pu mourir. Une balle perdue, un éclairs, ou bien tout simplement bousculé.e par la foule. Tu aurais pu mourir en effet, si on ne t'avais pas sauvé.e. Ton super héros qui a prit le coup à ta place, une scène digne d'un film d'action. Il ou elle a finit à l’hôpital pendant que toi tu as pu continuer ta petite vie tranquillement, cependant l'image de cette personne ne t'a pas quitté. Depuis tu fais tout pour le/la retrouver parmi tous les habitants de la ville, cette personne qui t'a sauvé la vie, cette personne qui semble soudain hanter tes esprits. Tu ne connait rien d'elle, juste une brève image, un regard échangé, et si ça se trouve quand tu le/la retrouvera, tu seras surement extrêmement déçu, qu'i.el ne corresponde pas à tes idées fantasques. (
2 personnes)
- liens pris:
ok boomer : T'as vraiment jamais rien compris aux ordinateurs et depuis que tu dois effectuer des calculs dessus pour le travail, tu deviens fous. Ce petit écran noir farcis de chiffre, ce clavier minuscule dont tu ne comprends pas les touches te tapent sur le système si fort qu'il est arrivé qu'un jour tu le fasses passer par la fenêtre. Comme une brique en cube, elle a atterri dans la rue, et ça a vaguement frôle la tête de ton voisin. Qui en réponse à jeté une pierre dans ta vitre et t'a ouvert l'arcade. En plus, il a gardé l'ordinateur, sauf que tu sais qu'il marche encore et que tu en as toujours besoins pour travailler, alors la tête en sang, tu vas sonner chez lui, furieux. Furieux, il l'est aussi. Et il te dit qu'il va pas te rendre l'ordinateur et que tu peux bien aller te faire voir. Tu as beau plaider ta cause il entend rien. Alors un jour tu décides d'entrer chez lui par la fenêtre pour récupérer ton bien (après tout il te vole tu peux bien commettre une effraction). Tu découvres que l'ordinateur lui, il sait très bien s'en servir et qu'il calculé très vite avec. Encore sous le choc de te trouver dans son salon, il ne comprend pas bien pourquoi tu l'agresses en le sommant de t'expliquer comment on s'en sert. (
@Lawrence Rose : celui qui joue au prof,
@Stanislas Gniewko : le boomer qui jette l'ordi)